Berlioz - Symphonie funèbre et triomphale
El contenido de la fe, para escuchar,
35m 9slongitud
♫ · ♫ · ♫ Hector Berlioz (1803-1869) I. Marche funèbre: Moderato un poco lento [0:00] II. Oraison funèbre: Adagio non tanto [17:34] - Andantino un poco lento e sostenuto [22:46] III. Apothéose: Allegro non troppo e pomposo [25:52] - - - - - - - - - - Dennis Wicks, trombone John Alldis Choir London Symphony Orchestra Colin Davis The Genius of Liberty, 1833, Auguste Dumont ♫ · ♫ · ♫
Comentarios
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quite medieval and haunting
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Verrait-on nos ministres de l'intérieur imiter M. De Gasparin et commander à quelque compositeur une oeuvre en mémoire à nos héros tombés au XX eme siècle? hélas, l'esprit musical a fui et nos élites argentées sont aussi éloignées des réalités que du Romantisme
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I had the privilege of playing the bass clarinet part of the third movement in a concert band recently. I love this piece.
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Absolutamente maravilloso! Para mi, uno de los mejores de Berlioz!
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Where I can see the name of the parts of this music? Like at 01:34 (for example) begins Dies Irae (for example).
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1st Horn In My Orchestra, Very Beautiful Symphony :-)
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Superlativo
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Formidable .... encore
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The last movement seems lacking in the pompous aspects which the French are known to implement with excellence. It is played as if this were intended as an orchestral piece resulting in lackluster absence of glory. Perhaps the addition of canons, and bells as with the 1812 overture of Peter I. Tchaikowski would have enhanced the production.
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Vive l'Empereur !
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Gloire!
Gloire! Glorie et triomphe!
Gloire!
Gloire et triomphe, à ces Héros!
Gloire!
Gloire et triomphe!
Venez, élus de l’autre vie!
Changez, nobles guerriers, tous vos lauriers,
Pour des palmes immortelles!
Suivez les Séraphins, soldats divins,
Dans les plaines éternelles!
A leurs chœurs infinis, soyez unis!
Anges radieux, harmonieux, brûlants comme eux,
Entrez, sublimes victimes!
Gloire et triomphe, à ces Héros!
Ils sont tombés aux champs de la Patrie!
Gloire et respect à leurs tombeaux!
Venez, élus de l’autre vie!
Gloire!
Gloire et triomphe, à ces Héros!
Gloire!
Et Respect!
A Leurs!
Tombeaux! -
Extraordinaire symphonie ... qui devrait figurer exclusivement au programme de TOUTE cérémonie funèbre officielle, en Europe, mais SURTOUT en France !!! Toutefois, les "autorités" de la république (qui, déjà, en 2003, ont refusé la translation des restes de Berlioz au Panthéon - HEUREUSEMENT ! -) s'en gardent bien, attendu que le plus grand (et quasi le seul) compositeur romantique français (et un des plus GRANDS français) était d'opinion orléaniste puis bonapartiste, vouant aux gémonies le "choléra républicain" !!!
Dénigré dans sa propre patrie (ce n'est pas peu dire que, dans son cas, l'aphorisme "nul n'est prophètre en son pays" a été d'application et l'est encore, dans une certaine mesure ) de son vivant comme longtemps après sa mort, Berlioz a en revanche jouit très tôt de la compréhension des musiciens et peuples anglais et allemands (les deux "ennemis héréditaires" de la France) et a marqué profondément la jeune école russe !!! Ne nous étonnons donc pas que ce soit un chef d'orchestre anglais, Colin Davis, qui ayant été à la base de la "résurrection" de sa musique à l'occasion du centenaire de sa mort, en 1969, dirige extraordinairement bien le présent enregistrement, évitant avec un sûr instinct tout "pompiérisme" !!!
Présent à la création de l'oeuvre en salle de concert (et sans doute lors de la cérémonie du 28 juillet 1840), Richard Wagner - un Allemand ! - jugera la symphonie "grande de la première à la dernière note", écrivant ensuite : "Je suis convaincu que cette symphonie perdurera et exaltera le cœur des hommes tant qu'il existera une nation nommée France".
Pauvre France, s'effondrant de degrés en degrés dans le marais du NEANT sous les "présidences" successives de Chirac, Sarkozy et Hollande !!! Se souvient-elle que cette géniale symphonie transcende l'héritage musical direct des musiques des grands compositeurs de la Révolution (Gossec, Méhul, Catel, Lesueur - le maître de Berlioz -) ... Soit, à une époque où la France, FIERE d'elle-même, éprise de GRANDEUR, savait honorer ses héros et ses morts !!! A présent, dans les mirages du "multiculturalisme" ... -
The combination of Berlioz/London Symphony Orchestra/Colin Davis, recorded in the 1960's is unbeatable!
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Accompagnés d'un grand cortège militaire, vingt-quatre chevaux devaient tirer un immense corbillard vers la place de la Bastille les cercueils de cinquante martyrs qui devaient être déposés sous la nouvelle colonne, tandis que la fanfare devait jouer tout au long de la procession.
Berlioz avait depuis longtemps le projet d'une grande Fête musicale funèbre à la mémoire des hommes illustres de la France, renouant avec l'esprit des grandes fêtes patriotiques de la Révolution, et dont le Requiem avait été déjà une première tentative. La commande fut pour lui l'occasion d'adapter et composer en fonction du déroulement prévu de la cérémonie : cortège funèbre passant par la Concorde, la Madeleine et les Grands boulevards, pour lequel il composa la Marche funèbre qui devait être répétée environ six fois ; "Hymne d'adieu" lors de la descente des cercueils dans les caveaux sous la colonne de la Bastille ; et enfin Apothéose pour achever la cérémonie et consacrer les héros.
La cérémonie eut lieu le 28 juillet 1840. Berlioz dirigea lui-même, en uniforme de la Garde Nationale et en marchant à reculons, une grande fanfare militaire de deux cents musiciens (cuivres, vents et percussions). La préparation de l'exécution en salle avait été très satisfaisante et frappante, mais son exécution en plein air fut malgré tout dans l'ensemble un échec, gênée par les bruits de la foule et des manœuvres militaires. Reprise en concert en août, l'œuvre fit à nouveau très forte impression. Richard Wagner la jugea "grande de la première à la dernière note", et écrivit ensuite : "Je suis convaincu que cette symphonie perdurera et exaltera le cœur des hommes tant qu'il existera une nation nommée France"
Source: Wikipedia -
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Thanks for uploading!
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La sinfonía más romántica que conozco. Berlioz en su quinta esencia.
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Christ, I love this, but this rendering is not the last word. Superb, though.
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RIP dear Sir Colin. -